Le DG de l’ANINF au forum économique Gabon – Etats-Unis
Le Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a présidé le 1er octobre 2024 à Washington, l’ouverture des rencontres économiquesentre les États-Unis et le Gabon. Ce rendez-vous d’affaires était axé sur le renforcement des liens économiques et l’investissement dans des secteurs clés. La présence du Directeur Général de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF) soulignel’importance du numérique dans le développement du Gabon. Ces échanges visent à engager un dialogue ouvert et constructif sur l’amélioration du climat d’investissement au Gabon. Les représentants des agences gouvernementales américaines et du secteur privé ont soulevé des préoccupations spécifiques, notamment sur l’environnement réglementaire et les réformes en cours au Gabon. Cette rencontre a permis au Gabon de réaffirmer son engagement à faciliter le commerce et à encourager les investissements étrangers. L’un des temps forts de cet événement a été l’annonce de partenariats et la signature de protocoles d’accords (MOU) sous la présidence du Président de la Transition, Président de la République, le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, visant à renforcer les liens entre les deux nations. Ces rencontres constituent une occasion pour le Gabon de présenter son guide d’investissement, illustrant les opportunités d’affaires dans des secteurs variéstels le numérique et l’innovation technologique. Ces efforts visent également à favoriser le développement de partenariats durables et de réseaux de collaboration qui pourraient mener à de nouveaux accords commerciaux. Le Gabon et les États-Unis travaillent main dans la main pour stimuler le climat d’investissement et saisir les opportunités de croissance économique.
Le Gabon au Forum de Bahreïn : Défis et Opportunités pour la Transformation Numérique
Le Gabon a été représenté au Forum sur les Compétences Numériques à Manama à Bahreïn du 17 au 19 septembre 2024, sous la conduite du Ministre de l’Économie Numérique et des Nouvelles Technologies de l’Information, le Général Rodrigue Bonjean MBANDZA, accompagné de ses collaborateurs, dont M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, Directeur Général de l’ANINF. Ce forum a permis d’aborder les défis et opportunités liés à la transformation numérique mondiale. Participant lors de première journée, le Ministre gabonais de l’Économie numérique a mis en avant les initiatives nationales visant à moderniser les infrastructures et à développer les talents locaux, contribuant ainsi à combler la fracture numérique. Il a aussi détaillé la stratégie du gouvernement pour améliorer les compétences digitales, avec un accent particulier sur la formation et l’inclusion. Pour la deuxième journée, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, Directeur Général de l’ANINF (entité publique au cœur de la transformation digitale au Gabon), a participé à un panel consacré à l’impact de la transformation numérique sur l’emploi. Il a souligné les enjeux et opportunités pour le Gabon, notamment en matière de développement des compétences numériques chez les jeunes, les femmes et les travailleurs vieillissants. Trois axes majeurs ont constitué la trame de sa présentation : reconnaître la valeur de ses compétences, les développer continuellement, et bien comprendre son environnement professionnel en constante évolution. A la suite de ces exposés, des recommandations visant à combler le fossé numérique ont été envisagées. En matière de formation, il a été relevé un besoin de requalification de compétences générales en compétences numériques qui constituent selon les panelistes, la fondation d’un bon avenir. Il faut pour cela, faire évoluer le système éducatif en élaborant des formations ciblées pour permettre la transition vers l’économie verte sensée créée plus de 30 millions d’emplois avant 2030. Ces derniers ont relevé qu’avant 2030, plus de 90% d’emplois auront besoin de compétences numériques. Sachant que 65% de jeunes travaillent dans des emplois encore inexistants. Aussi, les gouvernements doivent-ils élaborer des stratégies essentielles à la transformation numérique incluant toutes les communautés afin de combler le fossé numérique. Car, les compétences numériques peuvent être une solution aux inégalités sociales et permettent d’atteindre les Objectifs de développement durable (ODD). A cet effet, l’Intelligence Artificielle (IA) est appelée à jouer un rôle important dans la transformation de tous les secteurs par l’automatisation. La cybersécurité n’était pas en reste. Des pistes des solutions ont été proposées contre les cybermenaces croissantes, comme le vol d’identité et la cyberintimidation, sans oublier la désinformation et la violence en ligne. Le forum a mis en avant un projet clé de l’UIT, du PNUD et de l’UE pour renforcer les capacités des décideurs à favoriser une transformation numérique inclusive.
Formation avancée sur les outils de collaboration digitale : le Gouvernement fait appel à l’expertise de l’ANINF
Le Premier Ministre, Raymond NDONG SIMA, accompagné de ses collaborateurs, a reçu mardi 17 septembre, la formation sur les outils de collaboration avancés (Zoom et Microsoft Teams Professionals), dispensée par les experts de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF). Conscient de la nécessité de l’utilisation des technologies modernes en milieu professionnel, le Premier Ministre de la Transition, Chef du Gouvernement, Monsieur Raymond NDONG SIMA, a utilisé le bras séculier de l’État en matière du numérique, l’ANINF pour former son administration. Le déploiement à grande échelle de cette formation par l’ANINF souligne son rôle central dans la digitalisation de l’administration grâce à son expertise. L’objectif est de promouvoir la culture numérique en intégrant les technologies modernes dans les activités gouvernementales. Axée sur l’utilisation de Zoom et Microsoft Teams Professionals, cette formation vise à faciliter la collaboration à distance et à garantir le déroulement régulier des rencontres, renforçant ainsi l’efficacité administrative. Objectifs spécifiques de la formation sur Zoom et Microsoft Teams Professionals Les formations proposées ont pour objectifs de permettre aux participants de maîtriser les fonctionnalités avancées de Zoom et Microsoft Teams Professionals ; d’intégrer les innovations technologiques pour optimiser la collaboration et les interactions professionnelles et de sensibiliser à la sécurité numérique pour protéger les données confidentielles et éviter les fuites. Cette initiative, en plus d’améliorer les compétences techniques des fonctionnaires, renforce la sécurité des échanges en ligne et favorise une collaboration fluide grâce à ces outils numériques essentiels. L’ANINF au cœur de la transformation digitale de l’Administration.
eGabon-SIS : une formation des formateurs pour améliorer l’expérience patient
Du 9 au 16 septembre 2024, une formation des formateurs a été organisée par le consortium du projet eGabon-SIS pour initier les professionnels de santé aux solutions SMARTLIS et ÉQUINOX, visant à optimiser l’expérience patient dans les établissements de soins. Cette formation a réuni les ingénieurs de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), les professionnels de l’Hôpital de Coopération Égypto-Gabonaise (HCEG), ainsi que des agents du Ministère de la Santé. Les participants ont suivi des modules dédiés aux profils administrateur, technicien et biologiste pour SMARTLIS, et au module des consultations externes pour ÉQUINOX. L’objectif est de renforcer la prise en charge des patients, depuis leur admission jusqu’à leur sortie. Les professionnels de l’HCEG ont également exprimé leur intérêt pour une formation approfondie sur le Système d’Information de Santé (SIS), avec une demande particulière pour un paramétrage conforme aux canevas transmis au consortium.
Cybersécurité : l’ANINF prend part à la conférence du SG17 de l’UIT-T à Genève
Une délégation de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), mandatée par le Directeur Général, Monsieur Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, a participé du 02 au 06 septembre 2024 à Genève en Suisse, à la conférence organisée par le Groupe d’Etude 17 chargé des questions de sécurité de l’Union internationale des Télécommunications (UIT-T). Le SG17 (Groupe d’Etude 17 en charge des questions de sécurité) est un organe de la Commission de normalisation de l’Union internationale des télécommunications (IUT-T). Il est subdivisé en sous-groupes traitant chacun de questions telles que les architectures sécurisées, l’Intelligence artificielle (IA), la 5G et bien d’autres. Entité de l’Etat Gabonais en charge de la cybersécurité, l’ANINF par le truchement de son Directeur Général, a délégué deux représentants afin de prendre part aux travaux du SG17. Il s’agit de Mme Monique ATEME OWONA et M. Jessy Kevin NGANE OBAME tous deux de la Direction de la Sécurité de l’Information (DISI). Ces derniers ont respectivement participé aux travaux des sous commissions « Stratégies et coordination de la normalisation de la sécurité » pour Mme ATEME OWONA et « Sécurité des applications et services » pour M. NGANE OBAME. Durant les cinq jours de travaux, les délégués des différents pays ont étudié et validé des textes soumis à leur appréciation par le bureau du SG17. Au cours de cette conférence, les délégués de l’ANINF ont également échangé avec les autres membres du groupe régional regroupant les pays africains du SG17 (SG17 zone Afrique). Les travaux de cette conférence ont pris fin le 06 septembre par une plénière consacrée au vote des textes soumis à l’étude. La prochaine session plénière du SG17 est prévue à Genève du 07 au 17 avril 2025.
Intelligence artificielle (IA) : l’ANINF monte en compétence
L’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), représentée par un agent de la Direction des Application, a pris part du 03 au 06 septembre 2024 à Shanghai en Chine, à l’atelier de renforcement des capacités en Intelligence artificielle (IA). C’est une initiative de la Chine, en collaboration avec les Nations Unies (UN). Cet atelier qui a rassemblé plusieurs spécialistes du domaine, vise à susciter une montée en compétence de l’Intelligence artificielle (IA) basée sur l’expérience de la Chine. L’objectif de cette initiative étant d’accompagner les pays dans le développement des capacités pour une meilleure coopération dans la gouvernance de l’IA. La Chine réalise cela pour soutenir l’initiative d’UN AI for Good, qui est une plateforme numérique de communication sur le thème de l’intelligence artificielle, où les innovateurs en IA et les décideurs des secteurs public et privé peuvent échanger pour identifier des solutions d’IA permettant de faire progresser les objectifs de développement durable de l’ONU. Pour Orphée NVE HOUNKPONOU, représentant l’ANINF, cette formation est bénéfique pour l’Agence qui a pour ambition, la mise en place et l’exécution d’un plan d’action de développement d’une IA structurée, alignée aux standards internationaux et orientée dans le court, moyen et long terme. Quatre thématiques ont été abordées : les concepts clés de l’IA ; outil et méthodologie de développement de l’IA (Algorithme, recherche et innovation, développement de talent, infrastructures et gouvernance) ; domaine d’application de l’IA en Chine ; histoire de l’évolution technologique de la Chine. Il est important de souligner que l’IA est un domaine technologique qui existe officiellement depuis 1956. Son développement s’est considérablement accéléré avec l’avènement du deep learning (apprentissage profond) ces dernières années. Les activités autour de ce domaine se sont développées de manière indépendante dans les pays dotés des capacités en la matière. Selon le représentant de l’ANINF, “l’IA n’impacte pas seulement les pays qui le développe, mais tous les autres pays du monde qui essayent de suivre la tendance afin de s’adapter à ce changement. C’est dans ce cadre que l’initiative de l’UN intitulée renforcement des capacités en IA a tout son sens. Et la Chine est le pays le mieux placé pour conduire ce programme dans la mesure où elle a dû passer par l’étape à laquelle nous sommes avant de devenir deux pays référencés en termes d’IA’’.
Lutte contre la cybercriminalité en Afrique : le Gabon classé 3ème sur 25 participants
Du 2 au 6 septembre 2024, l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF) et l’unité cybercriminalité de la Police Nationale Gabonaise ont pris part à l’opération *Africa Cyber Surge Operation (ACSO) 3.0* à Accra. Cette rencontre destinée à lutter contre la cybercriminalité en Afrique, est à l’initiative d’INTERPOL, AFRIPOL et le Département d’Investigation Criminelle du Ghana. L’événement a rassemblé 50 experts venus de 25 pays, avec pour objectif de renforcer les stratégies de lutte contre la cybercriminalité à travers le continent africain. Landry MENDOU de l’ANINF et le Lieutenant Yoann WORA des Forces de Police Nationale (FPN), représentant le Gabon, ont présenté les efforts déployés au niveau national et abordé les défis majeurs rencontrés, notamment dans la gestion des scams. La collaboration avec les experts d’INTERPOL a permis de proposer des solutions innovantes pour un traitement en temps réel des affaires complexes, en partenariat avec l’équipe META de WhatsApp. En parallèle, un exercice de simulation de deux jours, baptisé *Cyberdrills*, a permis de tester la réactivité des participants face à des scénarios de cybercriminalité inspirés de cas réels. Grâce à son expertise, M. MENDOU Landry a permis au Gabon de se distinguer en se classant 3ème parmi les 25 pays participants.
Numérique : Audrey MENGUE, agent à l’ANINF honorée par Microsoft
Agent à l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des fréquences (ANINF), précisément à la Direction des Applications (DAP), Audrey MENGUE devient la première femme gabonaise et en Afrique centrale, couronnée du prestigieux titre de Microsoft Most Valuable Professional (MVP). Une distinction décernée par le géant américain de l’informatique. Le titre de Microsoft Most Valuable Professional (MVP) est une distinction mondiale décernée par Microsoft aux experts qui se distinguent non seulement par leur expertise technique, mais aussi par leur engagement à partager leurs connaissances et leur passion avec les communautés à travers le monde. Ce titre est attribué à des leaders qui contribuent activement au développement de la technologie et de la communauté. Cette année, le jury de cette organisation a porté son choix sur une jeune informaticienne gabonaise, Audrey Mengue. En service à l’ANINF, entité de l’État gabonais leader du développement des technologies numériques, elle devient ainsi la première femme gabonaise, mais aussi en Afrique centrale et dans la zone CEMAC à recevoir cette distinction exceptionnelle. Cette dernière n’a pas manqué de partager sa motivation suite à la récompense. « Ce qui me motive, c’est de partager mon savoir via le volontariat avec plusieurs communautés à travers le monde. D’avoir une activité qui me passionne réellement, car c’est au travers de celle-ci que je brille de mille feux. », s’est satisfaite Audrey. L’ANINF, est une administration qui prône l’excellence et l’innovation. Audrey incarne parfaitement ces valeurs. Son succès constitue une source d’inspiration pour ses collègues et toutes les jeunes femmes qui aspirent à faire carrière dans le numérique.
Forum Chine-Afrique : L’ANINF prend part aux assises de Beijing
Le Directeur Général de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), Monsieur Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, prend part au Forum Chine-Afrique qui se déroulera du 4 au 6 septembre 2024 à Beijing capitale de la Chine. Le Forum Chine – Afrique (FOCAC) 2024, est placé sous le thème “S’associer pour promouvoir la modernisation et construire une communauté d’avenir partagé Chine-Afrique de haut niveau”. Il constitue une opportunité pour des nombreux pays africains, de raffermir les relations d’amitié et de coopération multiformes entre la Chine et l’Afrique. En tant que leader du développement du numérique au Gabon, ce forum est une occasion pour l’ANINF de rechercher davantage des partenariats essentiels au renforcement des capacités des ressources humaines et la mise en œuvre de son ambitieux projet de la digitalisation du Gabon. En marge du FOCAC, le Directeur Général, Monsieur Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI a pris part aux côtés du ministre de l’Économie Numérique et des Nouvelles Technologies de l’Information, le Général Bonjean Rodrigue MBANZA au 2è Forum économique Gabon-Chine, notamment dans le panel consacré à l’économie numérique. Au cours de son exposé, Monsieur MOUNGUENGUI MOUDOKI a abordé des questions relatives à la formation, la protection et la conservation des données, la cybersécurité, ainsi que la gouvernance en matière de gestion des risques. Ce dernier point qui inclut également la cybercriminalité, nécessite l’implication des ministères de la Défense nationale et de l’Intérieur, de même que le développement de la culture numérique au sein des concitoyens, a-t-il souligné. Cette rencontre qui a rassemblé plusieurs investisseurs chinois avait pour thème : ‘’un nouveau partenariat économique pour des bénéfices partagés’’.
Projet eGabon-SIS : lancement d’un atelier de mobilisation des personnels de santé
Le Directeur Général de l’ANINF, Monsieur Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, en sa qualité de président du Comité technique (COTECH) des projets eGabon-SIS et Gabon Digital, a pris une part active à l’atelier de mobilisation des professionnels de la santé. Cet atelier a été organisé par le ministère de la Santé le samedi 31 août 2024 à l’hôtel Radisson, en prélude à la mise en production du Système d’information de santé (SIS) dans les structures sanitaires. Lors de son discours circonstanciel, le Secrétaire Général du Ministère de la Santé, Monsieur Charles ROTIMBO, a salué l’appui technique de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF) et la synergie entre les différentes parties prenantes dans la conduite de ce projet destiné à digitaliser le système de santé au Gabon. “A pied d’œuvre 24/24, l’ANINF a conduit l’acquisition des équipements de son datacenter, des locaux techniques des structures de santé et supervisé le paramétrage des solutions quasiment achevées au niveau des structures sanitaires de la phase 1 à savoir, l’Hôpital d’Instruction des Armées Omar Bongo Ondimba (HIAOBO) et l’Hôpital de la Coopération Egypto-Gabonaise (HCEG)’’, a souligné le SG du ministère de la Santé. L’autre temps fort de cette rencontre a été, la projection de deux vidéos, l’une sur la cérémonie de lancement du projet et l’autre résumant les démonstrations faites lors des deux derniers COTECH. Le président du COTECH, monsieur MOUNGUENGUI MOUDOKI a expliqué le rôle de l’ANINF dans le pilotage du dossier médical du patient, à savoir, l’utilisation sécurisée et confidentielle des données mises à disposition. Ces données permettent de créer des algorithmes qui donnent naissance à des applications. A cet effet, il a exhorté les professionnels de santé à être disponibles pour produire des données fiables afin de garantir l’intégrité des applications. Il faut rappeler que le projet de digitalisation du système de santé, vise à informatiser le dossier médical des patients. Cette démarche permettra une meilleure prise en charge médicale grâce au partage de données sécurisées et fiables d’une structure sanitaire à une autre. Les objectifs sont multiples : améliorer l’accès à la connaissance médicale, réduire les coûts des soins de santé, et garantir la conformité des processus de soins. Prenant la parole à la suite des autres intervenants, Dr OUTSA représentant le consortium a indiqué que 90 à 95% des objectifs ont été atteints. Lancé officiellement le 16 février 2024, ce projet du gouvernement qui vise à réformer le système d’information de santé, est en adéquation avec les orientations du Président de la Transition, Président de la République, chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA.