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Gabon Digital : des rencontres stratégiques pour accélérer la transformation numérique

Le Gabon franchit une nouvelle étape dans sa marche vers la modernisation numérique. Le mardi 10 juin 2025, Libreville a accueilli deux réunions de haut niveau destinées à donner un coup d’accélérateur aux projets eGabon-SIS et Gabon Digital. Ces échanges s’inscrivent pleinement dans la vision du Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, pour un Gabon numérique, inclusif et souverain. Le Ministre de l’Intérieur et la Représentante Résidente de la Banque Mondiale lors de la rencontre sur Gabon Digital. Autour de la table, plusieurs acteurs majeurs du programme : le ministre de l’Intérieur, M. Hermann IMMONGAULT, le ministre de la Digitalisation, M. Mark Alexandre DOUMBA, la Banque mondiale, représentée par Mme Aïssatou Diallo, et l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), bras technique du gouvernement pour les projets numériques représentée par son Directeur Général, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, président du Comité technique (COTECH) desdits projets. Les responsables d’administrations  impliquées dans le projet. Les échanges avec le Ministre de l’Intérieur ont porté sur trois priorités structurantes : l’identité numérique, la réforme de l’état civil et la cartographie des centres d’enregistrement. Ces piliers constituent la colonne vertébrale de la composante 2 du programme Gabon Digital. Le ministre a réaffirmé l’engagement total de son département à collaborer avec l’ensemble des partenaires, notamment la Banque mondiale, pour garantir le succès de ces chantiers. À terme, la dématérialisation de la carte nationale d’identité devrait permettre un accès simplifié des citoyens aux services publics et optimiser les capacités de recouvrement des collectivités locales. Le ministre a également rappelé que cette transformation repose sur un renforcement massif des compétences des agents publics, condition indispensable à la réussite du projet. Pour sa part, le Ministre de la Digitalisation a décliné une vision ambitieuse : modernisation de l’administration par l’archivage numérique, la signature électronique, la centralisation des données autour d’une identité unique et la digitalisation progressive des services publics et privés. Il a souligné l’urgence de créer un data center national, véritable pilier de la souveraineté numérique du pays, ainsi que la nécessité d’un cadre juridique clair sur la propriété des données. Enfin, le ministre a insisté sur l’enjeu de la participation des entreprises locales dans la mise en œuvre du programme. Il a appelé à un renforcement du partenariat avec la Banque mondiale pour faire du Gabon un pays pionnier de la digitalisation en Afrique centrale.  e

Conférence sur la cybercriminalité à Strasbourg : le Gabon renforce ses capacités

Face à l’intensification des menaces numériques, le Gabon renforce sa stratégie de cybersécurité. Dans la droite ligne de la vision du Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, de faire du numérique un pilier de souveraineté, une délégation de l’ANINF, sur instruction du Directeur Général M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, a participé à la conférence internationale sur la cybercriminalité, organisée à Strasbourg du 4 au 6 juin 2025. Ce rendez-vous mondial a permis d’aborder les grands défis liés à la lutte contre la cybercriminalité, à la gestion des preuves numériques et à l’impact croissant de l’intelligence artificielle (IA) sur les systèmes de sécurité. Dès la séance plénière d’ouverture, les participants ont rappelé l’importance des conventions internationales comme celles de Budapest et de Hanoï pour encadrer juridiquement l’action des États. Des retours d’expérience du Canada, de l’Espagne ou du Chili ont illustré des avancées concrètes en matière d’accès transfrontalier aux données numériques. Les discussions ont également porté sur la régulation des bases WHOIS, les violences en ligne, la protection des jeunes et l’identification des contenus numériques sensibles. La seconde journée a été rythmée par des ateliers stratégiques, axés notamment sur la cyber-ingérence électorale, les risques accrus liés aux contenus pédopornographiques à l’ère de l’IA (CSAM), ou encore la reconnaissance des cyberattaques comme crimes de guerre. La plénière de clôture a mis en relief le double visage de l’IA, à la fois menace potentielle et levier d’action. Le groupe T-CY a ainsi souligné l’urgence d’adapter les cadres juridiques internationaux, en particulier la Convention de Budapest, pour faire face aux mutations rapides du numérique. Pour l’ANINF, acteur majeur de la transformation numérique du Gabon, cette conférence représente une opportunité stratégique. Elle permet de consolider les connaissances, d’enrichir la réflexion nationale sur la cybersécurité, et de bâtir des partenariats pour une gouvernance numérique souveraine et sécurisée. Les attentes sont claires : adapter les politiques publiques aux réalités cybernétiques actuelles, renforcer les capacités locales et jouer un rôle actif dans la coopération internationale.

E-Gabon-SIS : bilan et perspectives pour une santé connectée

Le projet e-Gabon franchit un cap décisif avec la mise en œuvre opérationnelle du Système d’Information de Santé (SIS). Lors de la réunion du mercredi 4 juin 2025, le ministère de la Santé, l’ANINF et la Banque mondiale ont salué les progrès réalisés, tout en soulignant les défis à relever pour assurer une appropriation nationale du numérique dans le secteur de la santé.   Cette réunion stratégique visait à faire le point sur l’état d’avancement du projet e-Gabon et les perspectives du programme Gabon Digital. Le Système d’Information de Santé (SIS), pierre angulaire de la digitalisation du secteur a été au cœur des échanges. Pour le ministre de la Santé, Pr Adrien MOUGOUGOU, l’accélération du projet pendant la période de transition répond à la volonté de la transformation numérique du pays, impulsée par le président de la République, Son Excellence Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA.  “Le Chef de l’État tenait particulièrement à cette digitalisation du secteur de la santé. Il s’agit d’un changement de culture pour les professionnels, appelés à alimenter les bases de données de manière rigoureuse.”, a souligné le membre du gouvernement. Pour le Président du Comité technique (COTECH) et Directeur Général de l’ANINF, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI : “le déploiement a été conforme aux termes de référence. Nous sommes désormais dans la phase opérationnelle. Le SIS est un instrument de souveraineté nationale qui bénéficie déjà aux usagers. Les opérateurs ont été formés, et notre mission est d’en garantir la pérennité”. Il a également invité le ministère à jouer un rôle plus actif de facilitateur auprès des structures de santé pour favoriser leur appropriation du SIS. Cela passerait notamment par la désignation de points focaux dédiés au volet Gabon Digital. Le succès du SIS repose désormais sur l’engagement continu de toutes les parties prenantes. Sa généralisation promet de transformer durablement l’accès aux soins au Gabon, tout en inscrivant la santé dans une dynamique de gouvernance numérique souveraine.

Économie numérique : le Gabon mobilise ses forces pour tripler son impact sur le PIB

Le Gabon passe à l’action pour faire du numérique un pilier de sa croissance.  Cette ambition cadre avec la vision du Président de la République, Son Excellence Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, mise en œuvre par le ministre de l’Économie numérique, Mark Alexandre DOUMBA qui a réuni le 02 juin 2025   les acteurs clés du secteur pour tracer une feuille de route ambitieuse : tripler la part du numérique dans le PIB et accélérer la transformation économique. Autour de la table : l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP), l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), représentée par son Directeur Général, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, ainsi que les opérateurs de télécommunications Airtel Gabon, Moov Africa Gabon Telecom et GVA. Cette rencontre visait à faire un diagnostic complet du secteur numérique et à définir des axes de renforcement concrets. Le Ministre a rappelé l’ambition du gouvernement : hisser la part du numérique dans le PIB de 5 % à 8 %, avec un objectif de 15 % à moyen terme, en cohérence avec les standards internationaux. Plusieurs axes ont été définis : la mutualisation des infrastructures pour plus d’efficience, l’amélioration durable de la qualité des services, l’accès équitable à Internet sur l’ensemble du territoire et un renforcement de la transparence dans les relations avec les usagers. Au cœur de cette stratégie, l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF) est appelée à jouer un rôle clé. En tant que bras technique de l’État, elle assure la conception, la mise en œuvre et le pilotage de projets structurants, essentiels à la modernisation des réseaux et à la digitalisation de l’administration. Pour le ministre, seule une coopération renforcée entre l’État, les régulateurs et les opérateurs privés permettra de bâtir un numérique inclusif, résilient et accessible à tous. Cette réunion marque un tournant vers une gouvernance concertée pour ancrer durablement le numérique au cœur du développement du Gabon.

Modernisation de la gestion des ressources humaines de l’État : l’ANINF aux côtés du ministère de la Fonction publique

Dans la dynamique de modernisation de l’administration publique engagée par les plus hautes autorités, le Directeur Général de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, a été reçu ce lundi 2 juin 2025 par Madame le Ministre de la Fonction Publique et du Renforcement des Capacités, Pr Marcelle IBOUNDA. La rencontre s’est tenue en présence du Secrétaire Général, du Directeur de Cabinet et de plusieurs cadres du ministère. Au cœur des échanges : la refonte du Fichier Unique de Référence (FUR), un outil central du système informatisé de gestion des ressources humaines (SIGRH) de l’État, mis en place il y a plus de vingt ans. Devenu obsolète au regard des exigences actuelles en matière de sécurité, d’interopérabilité et de performance, le FUR nécessite aujourd’hui une refonte en profondeur pour répondre aux ambitions d’une gestion moderne et fiable des agents publics. A cet effet, Madame le Ministre a sollicité l’expertise de l’ANINF pour piloter cette refonte stratégique. Le Directeur Général de l’Agence a saisi cette occasion pour rappeler l’engagement de l’ANINF en faveur de la transformation numérique de l’administration, tout en présentant l’état d’avancement du projet. Il a précisé que la durée de mise en œuvre est estimée à 13 mois. Un travail conjoint entre les équipes de l’ANINF et les experts sectoriels du ministère est déjà en préparation afin de poser les bases techniques du projet et d’en assurer un cadrage optimal. Reconnaissant la portée transversale du projet, Madame le Ministre a indiqué qu’elle en ferait une communication officielle en Conseil Interministériel, en vue d’impliquer l’ensemble des ministères concernés et de garantir une coordination interministérielle efficace. Ce chantier marque une nouvelle étape dans la digitalisation des services publics au Gabon, portée par une volonté claire : rendre l’administration plus performante, plus transparente et résolument tournée vers l’avenir.

ID4Africa 2025 : L’ANINF porte la voix du numérique gabonais

L’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF) a activement participé du 20 au 24 mai 2025, à l’Assemblée Générale d’ID4Africa 2025 à Addis-Abeba, aux côtés de 48 États africains. Cette rencontre avait pour objectif, de promouvoir des écosystèmes d’identité numérique sûrs, inclusifs et souverains sur le continent. Le DG de l’ANINF et ambassadeur à l’ID4Africa lors de son exposé.   Lors de l’Assemblée Générale d’ID4Africa à Addis-Abeba, en Éthiopie, le Directeur Général de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, a porté haut la stratégie numérique du Gabon, confirmant l’engagement du pays pour une identité digitale souveraine et sécurisée, en phase avec la vision du Président de la République, Chef de l’État, Chef du Gouvernement, Son Excellence Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA. Cet événement de référence, rassemblant plus de 1 000 représentants gouvernementaux de 48 États membres africains, visait à accélérer le développement d’écosystèmes identitaires numériques robustes et inclusifs sur le continent. Représentant le Gabon en sa qualité d’ambassadeur à ID4Africa, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, a brillamment exposé la vision numérique du pays, en mettant en avant une approche pragmatique fondée sur l’expérimentation (POC), les avancées dans les domaines de l’interopérabilité, de la digitalisation des paiements et de la protection des données. Lors de son intervention, le DG de l’ANINF a également mis en exergue les défis et solutions du Gabon pour bâtir une identité numérique souveraine. Il a identifié quatre turbulences majeures : la fluidité des flux de données, la résilience des infrastructures, la coordination régionale et l’harmonisation sectorielle. Face à ces enjeux, l’ANINF se positionne comme catalyseur de la transformation digitale nationale et régionale. La participation de l’ANINF traduit l’alignement stratégique du Gabon avec les standards africains et internationaux, tout en renforçant ses partenariats techniques. En tant que bras technique du gouvernement, l’agence joue un rôle transversal dans la mise en œuvre des programmes structurants, appuyant aussi les ministères dans leurs chantiers sectoriels. Il est important de rappeler que l’ID4Africa est un mouvement de l’identité pour tous dont l’objectif est d’aider les nations africaines à développer des écosystèmes identitaires, robustes et responsables pour le développement socio-économique, numérique et l’action humanitaire.

Passation des charges à l’Économie numérique : Mark Alexandre DOUMBA place la digitalisation au cœur de sa vision

La cérémonie de passation des charges au ministère de l’Économie numérique, de la Digitalisation et de l’Innovation s’est tenue le vendredi 9 mai 2025. Elle a marqué l’entrée en fonction de M. Mark Alexandre DOUMBA, qui succède au Général de Brigade Bonjean Rodrigue MBANZA, après seize mois d’action à la tête de ce département stratégique. Le nouveau ministre de l’Economie numérique, Mark Alexandre DOUMBA a pris officiellement ses fonctions.   Présidée par Madame Gladys Peggy OBONE OWOULA, Secrétaire Général adjoint du Gouvernement, la cérémonie a réuni les entités sous tutelle, notamment l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), bras technique et expert central de l’État pour la mise en œuvre de la stratégie numérique nationale, représentée par son Directeur Général M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI. Dans son bilan, le ministre sortant a souligné les chantiers majeurs engagés : digitalisation de l’administration publique, numéro d’identification unique, extension de la couverture mobile, infrastructures haut débit, data center national, ou encore la restructuration de l’Institut Africaine d’Informatique (IAI) en technopole. Autant d’avancées rendues possibles grâce à l’implication de partenaires institutionnelles et techniques, notamment l’ANINF. Le DG de l’ANINF, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI  à  la cérémonie de passation des charges.   Lors de son intervention, M. Mark Alexandre DOUMBA a rendu hommage aux actions initiées par son prédécesseur, affirmant sa détermination à poursuivre les réformes engagées. Il a tenu à remercier le Président de la République, Chef de l’État, Chef du gouvernement, Son Excellence Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, pour la confiance témoignée en lui confiant ce portefeuille stratégique. Soulignant l’importance d’une transformation numérique inclusive, il a mis en avant plusieurs axes prioritaires en lien avec l’économie réelle : automatisation des processus, accompagnement des startups technologiques, développement des paiements électroniques et promotion de champions nationaux du numérique, autant de leviers essentiels à ses yeux pour accélérer le développement du pays. Le membre du gouvernement de la Vè République a également mis en lumière les atouts du Gabon : taux d’alphabétisation élevé, infrastructure numérique avancée, et forte appétence technologique, tout en rappelant que le principal défi reste la conduite du changement. “Le basculement des administrations vers des pratiques digitalisées nécessite des efforts soutenus et un accompagnement global”, a-t-il souligné. Dans cette dynamique, l’ANINF en tant qu’expert du numérique au Gabon, continuera de jouer un rôle clé, en pilotant les projets structurants et en soutenant l’écosystème numérique. Les projets phares tels que Gabon Digital et eGabon-SIS illustrent la volonté du pays de bâtir un écosystème performant, durable et centré sur les besoins des citoyens. L’ambition affichée est claire : faire du numérique un levier de croissance, un outil de souveraineté technologique et un moteur d’inclusion sociale.

Le Gabon renforce son dispositif de contrôle des fréquences grâce à l’acquisition d’un outil de dernière génération

Dans le cadre de sa politique de modernisation numérique, le Gabon a fait l’acquisition de l’équipement de contrôle du Spectre de fréquences radioélectriques de type PR200 de Rohde & Schwarz. Les agents de la DFA en plein exercice sur le terrain.   Huit agents de l’Agence nationale des infrastructures numériques et des fréquences (ANINF) ont suivi du 24 au 29 avril 2025, une formation sur l’utilisation de cet outil. Cette initiative s’inscrit dans la volonté de Son Excellence M. le Président de la République, Chef de l’État, Chef du Gouvernement, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA de faire du numérique un levier de souveraineté et de développement. Cette formation vise à renforcer les compétences techniques des agents pour mieux contrôler le spectre des fréquences, prévenir les brouillages et localiser rapidement les sources d’interférences. Ce dispositif stratégique participe à la construction d’une souveraineté numérique nationale, en phase avec la vision du Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA. La formation s’est articulée autour de trois axes essentiels : Grâce à cette montée en compétence, l’ANINF sera désormais capable de gérer efficacement les cas de perturbations radio, de garantir la qualité des communications et de sécuriser l’espace hertzien national. Cette formation a été rendue possible grâce à la collaboration avec Rohde & Schwarz, un acteur allemand reconnu comme leader dans la surveillance du spectre des fréquences. Ce partenariat illustre parfaitement la manière dont la coopération internationale, sous l’impulsion de la Direction Générale de l’ANINF, permet de renforcer durablement les compétences techniques nationales.

Fête du travail 2025 : l’ANINF célèbre ses agents et son engagement pour le numérique

L’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), à l’instar des autres administrations gabonaises, a célébré la fête du 1er mai 2025 consacrée aux droits des travailleurs. Une occasion pour le Directeur Général, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, de saluer l’engagement des agents, les avancées sociales majeures et réaffirmé l’ambition numérique de l’Agence. Le DG de l’ANINF lors de son allocution circonstancielle. C’est dans une ambiance festive, que les agents et l’équipe dirigeante de l’ANINF, en présence du Président du Conseil d’Administration, Mme Prisca KOHO épse NLEND et d’un inspecteur du Travail, ont célébré ensemble la fête du travail 2025. Une commémoration empreinte de reconnaissance, marquée par la remise de distinctions honorifiques à 26 agents – dont 3 fonctionnaires – totalisant près de dix ans de service. Un hommage appuyé à l’engagement et à la fidélité des collaborateurs. Prenant la parole, le Directeur Général, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, a réaffirmé son attachement à la vision de Son Excellence M. le Président de la République, Chef de l’État, Chef du Gouvernement,  Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, celle de bâtir une souveraineté numérique gabonaise forte. « La transformation que nous vivons n’est pas un slogan. C’est une réalité que nous construisons ensemble, chaque jour », a-t-il souligné. Exprimant sa joie de partager ce moment symbolique, le DG est revenu sur des nombreuses avancées institutionnelles et techniques opérées depuis son arrivée, saluant notamment la dotation du siège de l’Agence, grâce à la haute sollicitude du Président de la République, et le lancement du programme Gabon Digital. Il a également souligné l’acquisition des équipements PR200, cruciaux pour le contrôle des fréquences, ainsi que les partenariats stratégiques scellés récemment, notamment avec le Pôle National de Promotion de l’Emploi (PNPE) et la mairie d’Owendo. Ces étapes traduisent « une volonté sincère de faire avancer les choses, avec rigueur et esprit collectif ». Des acquis sociaux concrets et des attentes Le progrès, pour être durable, doit aussi être humain. M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI a ainsi salué l’adoption de la convention collective, véritable avancée pour les droits des agents, fruit d’un dialogue constructif avec les délégués du personnel. Il a également évoqué la mise en place de l’assurance maladie complémentaire et le rétablissement des primes trimestrielles intégrales, mesures fortes traduisant « une justice sociale retrouvée ». Conscient des défis encore à relever, le DG a rassuré sur les chantiers en cours : déménagement vers le nouveau siège, équipements informatiques modernes, formation continue… Autant de leviers pour une montée en puissance des équipes. Le représentant des Délégués du personnel prononçant son discours. Un cap numérique assumé, une reconnaissance partagée Le représentant des Délégués du personnel, M. Yannick MOUKAYI a salué les avancées sociales et stratégiques obtenues sous l’impulsion du Directeur Général et du comité de direction (CODIR), parlant d’une « nouvelle page plus juste, plus humaine, plus structurée ». Il a réaffirmé leur soutien tout en rappelant les attentes prioritaires en matière de conditions de travail et d’outillage.

La commune d’Owendo amorce sa transformation numérique grâce à l’expertise de l’ANINF

Le 30 avril 2025, la Mairie d’Owendo a franchi une étape majeure en matière de modernisation des services publics locaux, en signant un protocole d’accord stratégique avec l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF), acteur central de la transformation numérique au Gabon. Ce partenariat positionne Owendo comme une commune pilote de la digitalisation, illustrant la capacité de l’ANINF à concrétiser la vision d’un service public digitalisé. Echange des parapheurs entre le DG de l’ANINF et le Délégué Spécial de la Mairie d’Owendo. Une initiative à forte portée nationale Le Directeur Général de l’ANINF, M. Alberto Wenceslas MOUNGUENGUI MOUDOKI, a souligné l’importance de ce projet-pilote pour “l’évolution numérique des collectivités locales”. Il a réaffirmé l’engagement de l’ANINF à garantir la sécurité, la fiabilité et la durabilité des infrastructures numériques, insistant sur la triple exigence de confidentialité, intégrité et disponibilité des données. M. MOUNGUENGUI MOUDOKI a également rassuré les agents municipaux que la digitalisation est une opportunité de valorisation des compétences, non une menace pour l’emploi. Le Délégué Spécial de la Commune d’Owendo a salué, quant à lui, une “première au Gabon” qui répond aux aspirations des citoyens en matière de transparence, d’efficacité et de modernité. Ce projet traduit la vision du Président de la République, Chef de l’État, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, pour un Gabon souverain numériquement, où la technologie devient le levier de développement et de bonne gouvernance. Ainsi, grâce à l’accompagnement technique et stratégique de l’ANINF, la Mairie d’Owendo engage une modernisation profonde de ses services municipaux. Ce projet ambitieux repose sur l’intégration de solutions numériques avancées conçues et supervisées par l’ANINF, avec pour objectif de rapprocher l’administration des citoyens tout en professionnalisant la gestion interne.  Un accès simplifié aux services pour les citoyens Première pierre de cette refonte : la mise en place d’un système de paiement électronique sécurisé pour la collecte des recettes municipales (taxes, patentes), garantissant transparence et traçabilité. Un site web institutionnel sera également déployé, offrant aux administrés un accès en ligne à de nombreux services, dans une logique de proximité et de fluidité. Visite guidée des différents services qui seront digitalisés. Des processus administratifs modernisés L’ANINF met à disposition son expertise pour transformer les processus internes de la commune. Numérisation des archives, digitalisation des procédures des Ressources humaines, et mise en place d’un système informatisé de gestion de l’état civil : autant de solutions qui permettront de réduire les délais, sécuriser les données, et améliorer la qualité du service public. Une transformation humaine avant tout Consciente que la réussite d’un tel projet repose aussi sur les compétences humaines, l’ANINF accompagne également la montée en compétences des agents municipaux. Des formations ciblées permettront aux équipes locales de s’approprier pleinement les outils numériques, assurant une transition fluide et inclusive. Vers un modèle national de digitalisation A travers l’accompagnement de l’ANINF, la commune d’Owendo ouvre la voie à une nouvelle ère pour les collectivités locales gabonaises. Cette digitalisation des services publics locaux est non seulement un pas vers une meilleure gouvernance, mais aussi un geste fort en faveur de la souveraineté numérique du pays.

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