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Octobre Rose : les agents de l’ANINF sensibilisés sur le dépistage précoce

PUBLIÉ LE

30 octobre 2024

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Les 18 et 25 octobre 2024, l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF) a organisé des séances de sensibilisation pour promouvoir le dépistage précoce des cancers du sein et du col de l’utérus auprès de son personnel.

Ces journées, tenues sur les sites d’ACAE et à la Direction Générale de l’ANINF, sise à l’immeuble de la Solde ont rassemblé les agents, notamment les femmes toutes de rose vêtues pour manifester leur soutien à cette cause. Invités pour la circonstance, le Dr Foxy MBANG spécialiste en gynécologie obstétrique accompagnée du Dr Trésor MINTSA, a souligné l’importance du dépistage précoce, rappelant que les cancers du sein et du col de l’utérus figurent parmi les plus fréquents chez les femmes au Gabon.

Les interventions du Dr MBANG se sont concentrées sur les trois niveaux de prévention : primaire, secondaire et tertiaire. La prévention primaire encourage des comportements sains pour éviter l’apparition de ces cancers, tandis que la prévention secondaire insiste sur le dépistage pour détecter les signes précoces et faciliter une prise en charge rapide. Enfin, la prévention tertiaire se focalise sur les options de traitement, notamment la chirurgie, la chimiothérapie et la radiographie.

Dans son exposé, elle a également signifié que les facteurs de risque liés au cancer du sein comprennent les antécédents familiaux, les hormones (puberté précoce, absence de grossesse avant 35 ans, ménopause tardive), la consommation d’alcool et l’absence d’allaitement. Concernant le cancer du col de l’utérus, les risques sont associés à l’infection par le papillomavirus humain (HPV), aux rapports sexuels précoces, la multiplicité des partenaires non protégée, la multiparité (plusieurs maternités), les antécédents des cancers familiaux, le tabac et les co-infections sexuellement transmissibles (VIH, Chlamydias, Gonococcie).

Un accent a été mis sur les vaccins Cervanix et Gardasil9 pour les jeunes filles de moins de 14 ans, comme moyen de prévention contre le papillomavirus humain (HPV) responsable du cancer du col de l’utérus.

Au cours des échanges lors de la phase questions – réponses, il a été souligné que les hommes aussi peuvent être infectés par des virus liés aux   deux types de cancers. D’où, leur implication, leur soutien moral et leur réconfort sont essentiels pour accompagner les femmes dans ce combat.

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